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   ÀÌ°æÀÇ 
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   http://www.moliere.pe.kr
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   ½ÃÀû »ç½ÇÁÖÀÇ : Réalisme poétique
http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/R%C3%A9alisme%20po%C3%A9tique/fr-fr/

1. ÁÖ¿ä°¨µ¶ : Jean Vigo, René Clair, Jacques Feyder, Jean Renoir, Marcel Carné et Julien Duvivier

2. µîÀåÀι° : »çȸÀÇ ÁÖº¯ÀÎ, ÇÏÃþ¹Î, ¹üÁËÀÚ, °Ç´Þ

3. À½¿ïÇÑ Çö½ÇÀ» ¹Ý¿µÇÏ´Â °ø°£ : ¾îµÎ¿î °Å¸®, ¾È°³ ³¤ ºÎµÎ, ÇüÅ°¡ Àϱ׷¯Áø °Ç¹° µî

4 ¿ì¿¬È÷ ¸¸³­ ¿¬ÀεéÀÇ ¼÷¸íÀûÀÎ »ç¶û°ú ½ÃÀûÀÎ ´ë»ç

5. Àý¸ÁÀûÀÎ »çȸ Çö½ÇÀ» Àû±ØÀûÀ¸·Î °í¹ßÇÏÁö ¾ÊÀ½

6. ½ºÅ¸ ¹è¿ìÀÇ µîÀå : Jean Gabin, Michèle Morgan, Arletty, Michel Simon

7. À¯¸í ½Ã³ª¸®¿À ÀÛ°¡¿¡ ´ëÇÑ ÀÇÁ¸ : Jacques Prévert, Charles Spaak, Jean Aurenche, Henri Jeanson


1) Racines

- Regard sensible aux êtres ordinaires dans les films des années 20 : André Antoine, Louis Delluc, Jean Epstein

- Images de Paris populaire au début du film parlant :

    "Coeur de Lilas" du russe Anatol e Litvak, "Dans les rues" de l'allemand Victor Trivas

- Jean Vigo : "A propos de Nice", "L'Atlante"

2) Principaux films

Jean Vigo, "L'Atlante" (1934)
Jacques Feyder, "Pension Mimosa" (1934)
Julien Duvivier, "Pépé le Moko" (1936)
Marcel Carné, "Quai des brumes" (1938) / "Le jour se lève" (1939)

3) Citation en coréen

½ÃÀû »ç½ÇÁÖÀÇ ¿µÈ­µéÀº Á¾Á¾ ³ëµ¿°èÃþÀÇ ½Ç¾÷ÀÚµéÀÌ ¹üÁËÀÚµé·Î »çȸ ÁÖº¯¿¡¼­ »ì°í ÀÖ´Â Àι°µéÀ» Áß½ÉÀ¸·Î ´Ù·é´Ù. »îÀÇ ½ÇÀÇ¿¡ ºüÁø ÃʶóÇÑ Àι°µéÀº °­·ÄÇÏ°íµµ ÀÌ»óÀûÀÎ »ç¶ûÀ̶ó´Â ¸¶Áö¸· ±âȸ¸¦ ã´Â´Ù. ªÀº ±â°£ÀÌ È帣°í ±×µéÀº ´Ù½Ã ½Ç¸ÁÇÏ°Ô µÇ´Âµ¥ ¿µÈ­´Â Áß½ÉÀι°ÀÇ È¯¸êÀ̳ª Á×À½À¸·Î °á¸»À» ¸Î´Â´Ù. Àü¹ÝÀûÀÎ ºÐÀ§±â´Â Çâ¼ö¿Í ºñź°°Àº °ÍÀÌ´Ù.

* Source : Å©¸®½ºÆ¾ Åè½¼, µ¥À̺ñµå º¸µåÀ£ °øÀú / ÁÖÁø¼÷, ÀÌ¿ë°ü, º¯Àç¶õ ¿Ü °ø¿ª, < ¼¼°è¿µÈ­»ç 2 >, ½Ã°¢°ú ¾ð¾î, 2000, p. 193.

4) Citation en français

L'appellation s'appliquerait plus justement à une poignée de films à sujet social, mais si les dialogues de Prévert ou de
Jeanson, les décors d'Alexandre Trauner, l'éclairage d'Eugen Schüfftan ou Jules Krüger peuvent y transformer le réel,
« fantastique social » conviendrait mieux encore, qui comme « étiquette » a par ailleurs une origine plus juste. C'est
l'expression employée par Pierre Mac Orlan pour définir le climat de ses livres des années vingt dont l'un sera adapté par
Julien Duvivier, "La Bandera" (1936), l'autre par le duo Carné-Prévert, "Quai des brumes" (1938). Ces films
témoignent « d'un mal de vivre qui se complaît dans les rues mouillées, les ports nocturnes, qui passent de la
nostalgie à l'amertume, ils vont chanter la geste des voyous et des déserteurs ». La morbidité, le pessimisme de
ces films réalisés à la veille de la guerre, sont bien moins une prémonition de ce qui arrive que l'expression de ce qui
est déjà là.

Ces films sont naturalistes, populistes et héritent de l'expressionnisme allemand le traitement de la lumière. Jules
Krüger, formé par Gance sur "Napoléon", La Fin du monde, s'adaptera bien au parlant, particulièrement avec Julien
Duvivier ("La Belle Equipe", 1936, "Pépé le Moko", 1937) et retiendra dès "La Bandera" l'éclairage dur, latéral et le cadrage
marqué (comme la contre-plongée).

* Source : http://www.adpf.asso.fr/adpf-publi/folio/cinema/25.html




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